vendredi 30 mars 2007
"Pané en 25 secondes"
Je veux vraiment m'excuser de ne poster un message que maintenant mais je
travaille vraiment trop depuis que je suis rentré. Je suis très rarement
chez moi et quand j'y suis je suis crevé. En plus j'ai eu des problèmes avec ma
Darty Box; enfin ma Neuf Box et donc eu des problèmes de connexion mais
à défaut de ne pas écrire j'ai pensé à vous sans arrêt depuis Rouen jusqu'à
Barentin. Me revoilà aujourd'hui alors profitez-en!
Donc un mois = un article. Bon ça reste quand même une bonne moyenne c'est toujours moins pire que Laurent Hyppolite.
Et puis un mois = 1 voyage à plus de 1 km de Paris. 6768 plus exactement. Je suis donc parti en Guadeloupe en début de mois pendant une semaine avec Tiffany, son papa, la copine de son papa et la fille de la copine de son papa. Ça me paraît tellement loin maintenant que je raconte. Quoi j'aurais du raconter ça avant? Oui peut-être. Résultat, je ne m'en rappelle plus... Non je me souviens quand même un peu; c'était y'a pas si longtemps!
L'avion ne m'a pas paru si long malgré les 8 heures de vol. J'appréhendais vraiment parce que rien qu'un simple Bordeaux-Paris de 50 minute m'effraie.
Le matin on est allé à l'aéroport d'Orly, on a mangé un breakfast.
Dans l'avion en début d'après-midi, on a mangé un lunchfast.
Avant de descendre de l'avion on a mangé un dinerfast.
Et comme en descendant de l'avion on était revenu 5h en arrière car au lieu de 23h il était 18h, il nous restait encore un repas à prendre. On a donc eu 4 repas ce jour-là. Heureusement que je n'avais pas des médicaments à prendre matin-midi et soir parce que je n'aurais absolument pas su quand les prendre.
C'est quand même étrange les décalages horaires. Ça me fascine moi. C'était mon premier, mais je m'y suis assez vite fait.
Ce qui est vraiment agréable, c'est de sentir la chaleur en sortant de l'avion alors que la dernière fois qu'on a senti l'extérieur, il faisait froid et gris. Nous logions dans un petit village Pierre&Vacances fort sympathique près de Ste Anne. Le temps de louer la voiture, de trouver le village et de prendre possession de nos appartements, il était 21h de là bas. J'avais donc faim...
Dans l'appartement, il fallait mettre une carte dans un lecteur pour avoir l'électricité. Cette carte était sur le porte-clés avec la clé de l'appartement. Au début, on ne savait pas qu'il fallait la laisser dans le lecteur. On s'est alors retrouvés assez vite dans le noir car la lumière ne survivait sans carte que pendant 30 secondes. Le papa de Tiffany alors près de l'entrée me demande alors de lui passer la dite carte. Je lui passe ce que je pense vraiment être la carte. Il me dit alors: "Mais non ça c'est une zapette!" (oui le papa de Tiffany a assez facilement tendance à dire le mot "zapette") Pensant qu'il appelle aussi la carte une zapette, je lui dit que c'est bien ça qu'il faut mettre dans le lecteur. Il insiste en me disant: "Non ça ne s'allume pas avec la zapette la lumière!" Je lui assure que si. Quelques insistances plus tard et alors qu'on rit car cela fait plus de 3 minutes que nous sommes dans le noir et que nous nous trouvons tous à divers endroits de l'appartement, je me rends compte que j'insiste pour qu'il allume la lumière avec la télécommande de la télé... Franchement les épaisseurs des deux objets n'ont rien à voir mais j'étais vraiment persuadé de lui avoir donné l'objet désiré... La bêtise réparée, lui et moi ne pouvions plus arrêter de rire. Les vacances commençaient bien...
On a visité pas mal de choses, on a à peu près fait le tour de l'île. On a été à quelques délicieux restaurants, pris 3 centaines de photos, été au marché, à la maison de la noix de coco, au marché artisanal, écouté le "Midi-show" à la radio, vu des gens drôles le soir au village. Enfin quand je dis qu'ils étaient drôles, je pense qu'ils ne le savaient pas. En effet Tiffany et moi avons jeté notre dévolu sur un couple de gens assez avinés à longueur de temps pour s'en moquer. Leurs gestes, leurs paroles et leur comportement général nous faisaient bien marrer.
Au marché de Pointe-à-Pitre, le nom de ville de plus drôle du monde car, contenant "pitre", les marchandes nous accostent 300 mètres avant leur stand, nous appellent "doudou" ou "chéri" et arrivent à nous vendre au moins 900 kg d'épices. On est vraiment des bonnes poires nous!
La matin, on se levait vers 8h30 (13h30 ici) ce qui fait que ça ne me changeait pas trop mes habitudes. Après un p'tit dej assez copieux, on se retrouvait dans la piscine dès 9h30 alors qu'il faisait 30°. C'était super appréciable. Le soir, au restaurant de chez Pierrot & Vacançot, on se retrouvait toujours à proximité d'une famille tout droit tirée de "La vie est un long fleuve tranquille", des gros bourgeois où les enfants s'appelaient Louis-Côme, Albane, Appoline, Maïeul et Adélaïde et les parents qui avaient l'air de cruches. Non mais franchement, Louis-Côme quoi! Imaginez bien qu'on s'est moqué d'eux jusqu'à plus soif. Seulement le sort s'est retourné contre nous car on se les coltinait où que nous allions... même jusqu'à l'avion du retour car ils n'ont pas eu d'autre idée que de partir le même jour que nous et étaient assis aux places juste derrière nous. On a bien cru un instant qu'ils habitaient dans la même maison que nous. Ils étaient insupportables avec tous leurs enfants plus caractériels les uns que les autres!
Par contre conduire en Guadeloupe, ça donne mal à la tête. On doit freiner tout le temps parce que tout le monde conduit assez mal, ou s'arrêter parce qu'il y a un enterrement. En fait pour les enterrements qui ont lieu en général en fin d'après midi, la voiture roule à 1 km/h et tout le cortège la suit; ce qui fait que les 3258 voitures derrière ne roulent plus. Par contre les gens chantent, c'est assez festif. On a même visité un cimetière tellement, même un cimetière, c'était beau et gai.
En voiture, sur les bords de route où il y avait des vaches, on voyait des espèces d'oiseaux blancs
(des pics-boeufs) qui les collaient. Certains même étaient carrément sur les vaches. De loin ça nous faisaient rire car ils n'avaient pas peur de ces gros animaux. C'était comme s'ils les protégeaient. A chaque vache, son pic-boeuf, c'était drôle!Beaucoup moins drole lorsque l'un d'eux se retrouvait à notre table deux matin au p'tit dej, qui se permettait de marcher sur des croissants ou manger une omelette en en foutant partout... De près c'ét
ait plus impressionnant. Ce qui m'a un peu dégoûté, c'est qu'ils arrivaient à faire bouger leur cou sans que la tête ou le corps ne bouge... Berk. De près ça fait flipper ces oiseaux. Mais de loin c'est tellement mignon!La semaine est passée super vite, on a pas mal bro
nzé, j'avais un peu le cafard en rentrant parce que j'ai passé un très bon séjour, c'était paradisiaque. Soudain, l'avion du retour devient beaucoup moins passionant. Comme on a voyagé de nuit, j'aurais du dormir mais à cause des secousses et de mon inconfort je n'ai pas fermé l'oeil. Le plus déprimant c'est que pendant que j'étais censé somnoler, ils passaient Rocky Balbloa... Les vacances s'achevaient...Depuis, j'ai repris le boulot, rangé mes lunettes de soleil et devinez qui m'a demandé comment s'étaient passées mes vacances?!
Depuis je n'ai pas fait grand chose de ma vie, si ce n'est m'être enfin mis à suivre la première saison "Prison Break" et à en devenir totalement fou (je vais m'attaquer à la saison 2), avoir prévu une journée au Parc Astérix dans deux semaines, et placé un message codé dans le premier paragraphe de l'article de ce blog pour faire un pied de nez à mes détracteurs. Une phrase qui me présente un peu pour ceux qui ne me connaissent pas...J'espère que vous arriverez à la décoder! Bon et cette fois, je n'attends pas un mois pour récrire un article.
jeudi 1 mars 2007
Alors que... Revoilà la sous-préfête!
Eh bien ça y est me revoici; après tant de semaines passées sans me lire, ne trouvant plus de gloupopy où aller, vous vous pensiez perdus! Ces "très grandes" vacances de Blog Actually ont été la conséquence de quelques évènements. Je tiens déjà à m'excuser pour cette longue absence, attente, mais on repart à zéro et on recommence. Alors je lis sur vos lèvres tant de questions: "Youwann, t'étais où enfin!" ou "Mais où est donc Ornicar?" et même "Que t'est-il arrivé pour fermer l'ancien Blog Actually?"
Tant de questions si intéressantes auxquelles j'aimerais répondre vraiment à toutes; c'est pourquoi je vous propose d'y répondre. A cette occasion, je me suis accordé une interview (j'ai eu ce privilège, oui) et dont voici le résultat en exclusivité:
- Youwann, bonjour!
Bonjour!
- Alors évidemment la première question que l'on se pose tous, qu'est-ce qui s'est passé?
Eh bien la plupart des gens est déjà au courant; je suis du genre "stressé" en avion, j'avais donc pris avant le vol des anxiolytiques puis quelques verres de vin... oh non je me trompe d'interview...
- Ah ah ah je vois que malgré tous ces jours d'absence, vous n'avez pas perdu votre humour, bien au contraire!
Oui en effet. Pour en revenir à la réalité, mon blog a subi au mois de janvier un petit incident non prévu lors de son lancement. J'ai dû le fermer précipitamment car ma direction en a fait la découverte fin 2006. Je me suis donc retrouvé convoqué pour certaines citations dans Blog Actually. Afin donc de ne pas gêner certaines personnes, j'ai préféré ne pas donné suite de vie à mon ancien blog. Je l'ai donc déménagé et j'ai voulu en créer un neuf, tout en gardant le même esprit, le même design. Le problème c'est que BlogSpot n'a pas voulu que je reprenne l'ancienne adresse, prétextant qu'elle était déjà prise alors que, comme vous avez pu le constater, il n'y a plus rien à cette adresse. Il a donc fallu que j'en trouve une autre. J'aurais perdu dans cette folle bataille quelques lecteurs à qui je n'ai pas pu donner cette nouvelle adresse car je ne peux pas les contacter, mais vous, vous êtes là alors tout va bien finalement.
- Ne pensez-vous pas que cette absence et cette fermeture brutale n'est autre qu'un coup publicitaire, une stratégie marketing pour Blog Actually de votre part?
Pas du tout, je me suis réellement fait convoquer, j'ai réellement été mis à pied pour certains motifs. Je tiens d'ailleurs à renouveler mes excuses aux personnes qui ont pris connaissance de mon blog, alors que c'étaient les personnes les moins attendues, que j'ai pu blesser.
- Vous êtes passé près du licenciement non?
Oui c'était moins une. Maintenant je leur ai expliqué que les propos tenus faisaient partie de mon "monde" qu'il ne fallait pas qu'ils prennent les mots au premier degré, qu'il y avait effectivement des choses que je n'aurais pas dû raconter, mais que ça m'étonnait quand même qu'ils en fasse tant d'histoire. Merci d'ailleurs à mon avocate attitrée!
- Votre direction a donc découvert l'existence de Blog Actually, mais dans quelles circonstances?
Tout simplement grâce/à cause de moi. Une fois j'ai montré à ma directrice comment retrouver les pages visitées sur un des postes informatique de mon travail, et du coup, quelques jours après, elle est tombé sur mon blog car j'avais déjà été le visiter depuis ce dernier. Des choses l'ont frappée; elle a donc voulu en savoir plus pour comprendre. Elle pensait que je ne me sentais pas dans mon élément à tellement critiquer l'endroit où je travaille et certaines personnes avec qui je travaille. Je me suis donc excusé sur le préjudice que ça a pu porter sur ces personnes.
- Deux jours de mise à pied? Ça veut dire quoi? Que pendant deux jours, vous êtes allé travailler à pieds?
Hihi non, deux jours durant lesquels je ne vais pas travailler et qui ne me sont pas payés.
- Qu'avez-vous fait alors durant ces deux jours? Vous vous êtes morfondu?
Non pas du tout, j'ai réfléchi à mes actes, je suis resté dans une pièce noire sans manger ni boire. Enfin j'aurais pu faire ça mais la réalité fut tout autre. J'ai passé avec ma chérie un mini-séjour dans un hôtel à Honfleur près de Deauville, un manoir dans lequel se trouvait une piscine intérieure, un jacuzzi débordant, un hammam et des vieux. Le soir, on a été dîné dans un restaurant à Honfleur et le lendemain, je me suis fait masser aux huiles essentielles. J'ai donc perdu ma virginité en massage et c'est très bien. Un petit séjour durant lequel je n'ai pensé à rien et où j'étais heureux.
- Cette histoire terminée, comment est l'ambiance maintenant au boulot?
Très bonne, j'en suis très content. Au début, j'avais un peu peur mais tout va pour le mieux.
- Youwann, merci. Il me reste à vous souhaiter un bon nouveau blog et un bon matin.
Toi-même!
Alors pour ceux qui ne me connaissent pas, je m'appelle Yohann, j'habite Rouen et donc, ne suis pas très drôle. Je travaille dans un endroit où ce que je dirai pas où c'est, à là où je dirai pas dans quelle ville. Je dis juste que je vends des choses dans un magasin.
Eventuellement, ceux qui veulent connaître ou redécouvrir des pages de mon ancien blog, qu'ils m'envoient un mail et je leur donne l'adresse et l'accès parce qu'il est sécurisé.
Pour en finir avec ma "censure" bloggienne je vous montre un article que j'ai trouvé dans la rubrique d'aide de BlogSpot, qui comme par hasard, parle exactement de ce qui m'est arrivé.
un article intitulé: "Comment ne pas se faire licencier à cause de son blog..." Tiens donc!
Sinon, ben il m'est arrivé quelques petites choses depuis ces derniers temps dont une petite anecdote que je vous réservais.
Un soir où je rentrais seul de St Sever, magnifique centre commercial Rouennais, avec des pizzas dans mes mains après avoir rendu une petite visite de courtoisie à mes amis de Lugécé, un petit jeune homme d'une quinzaine d'années s'approche de moi et me demande si je vis seul. Au départ, comme il y avait une dame avec une fille juste devant moi dans l'escalator qui rejoint le parking, je pensais qu'il était avec. Je lui réponds donc que je ne vis pas seul. Il me dit: "miam ça sent bon vos pizzas, j'ai trop faim... Sinon, vous pourriez m'avancer un peu en voiture? Parce qu'en fait mes parents sont pas là ce week-end et je n'ai pas le droit de rester tout seul parce que mes parents ne veulent pas, donc je ne sais pas trop où dormir." Je lui explique que donc chez moi ça ne serait pas possible mais que je pouvais le lâcher en centre-ville s'il le souhaitait.
Dans la voiture, il n'a pas arrêté de me saouler et je regrettais déjà mon gentil geste. Il était vraiment bizarre, il m'a raconté qu'il revenait du cinéma, qu'il avait été voir "Taxi 4" et m'a donc raconté tout le film et qu'à un moment y'a la voiture qui passe à 290Km/h, qu'il habite à quelques kilomètres. Je lui demande alors comment ça se fait que ses parents le laissent à la rue. Il me raconte que c'est parce qu'il a trahi leur confiance et que la veille ils lui avaient demandé où il dormait et qu'il avait répondu chez des copains. Il me redemande alors s'il peut dormir chez moi, dans un coin, même par terre; que ma compagne ne le remarquerait même pas. Au bout d'un moment, comme il ne me laissait pas tranquille je lui dit: "Ok je vais lui demander mais c'est pas sur qu'elle accepte car elle n'aime pas trop les inconnus."
En fait, j'avais l'intention d'aller dans l'appartement vide de Tiffany le laissant attendre devant la porte pour faire semblant de lui demander s'il pouvait dormir chez nous. Me voyant galérer à chercher une place à proximité de ma fausse adresse, et passant devant un parking, il me dit: "Vous pouvez aller dans ce parking! 9€ la nuit, c'est pas cher les parkings!" Je ne savais pas comment lui dire qu'en fait il était hors de question que je me gare faussement en payant un parking pour un sketch que j'allais lui faire alors que je n'habite pas du tout dans ce quartier et que j'allais en repartir 5 minutes après (oui je sais je suis cruel)... Il parlait sans arrêt, c'était agaçant. Je ne savais pas comment j'allais m'en débarrasser.
Ce qui m'a fait comprendre un peu la bizarrerie de ses propos, c'est qu'à un moment, il me parle d'un Hôpital psychiatrique, près de son domicile et dans lequel il allait souvent rendre visite à un ami. Il me raconte texto (!): "Une fois j'y suis allé, et en repartant, ils voulaient pas me laisser partir ils croyaient que j'étais un patient alors je leur dit mais non je m'appelle Nicolas euh.... Tren... euh mince je me rappelle jamais de mon nom..." Oui donc quelqu'un qui ne se souvient pas de son nom de famille est quelqu'un de... dérangé pour moi. Ou alors quelqu'un qui a 3 ans. Il y avait donc un grave problème. Surtout lorsqu'il m'a dit: "Vous le connaissez vous l'hôpital psychiatrique?" Je lui réponds oui enfin je vois où il est. Et il poursuit: "Et vous y allez des fois? Enfin vous y êtes déjà allé?... En tant que visiteur hein, pas en tant que patient?!" Je lui dit alors que mes habitudes n'étaient donc pas d'aller me promener là bas car je ne vois pas ce que j'y ferais, que moi mon hobby c'était plus Carrefour ou les magasins But! Il fallait donc que je m'en débarrasse une bonne fois, il était trop bizarre.
Je trouve donc une fausse place sur un zébra et me prépare donc à jouer mon sketch de "bon ben je monte attends moi- oh ben zut elle veut pas aller, au revoir!" et repartir chez mon vrai moi manger mes vraies pizzas. Seulement voilà, le problème justement, les pizzas. Il me propose de porter les pizzas. Je réalise donc que les porter, les monter et redescendre lui annoncer la mauvaise nouvelle, les pizzas toujours à la main n'était pas tout à fait crédible. Je lui dit alors que je les laisse dans la voiture, que j'irai les chercher après.
Je monte donc sans lui dans l'immeuble de Tiffany le laissant attendre dans la rue... Je n'avais bien sûr pas les clés et reste donc quelques minutes avent de redescendre et profite de cette occasion pour appeler Tiffany au téléphone et lui expliquer la situation qui justifiait mon retard. Peu après, je redescends, lui annonce que ma copine ne va pas très bien, que ça posait donc un problème et que ça ne serait donc pas possible, mais qu'en guise de dédommagement, je lui offrais un ticket restaurant pour qu'il puisse s'offrir un menu chez Maguedo. Voyant le montant, il me demande s'il peut prendre beaucoup de chose avec. Il ne savait apparemment pas lire les chiffre. Je lui dit alors qu'il a droit à un menu correct, et je le quitte donc au coin de la rue. J'allais donc le quitter à tout jamais en direction de ma voiture et il me dit: "Mais là vous allez où vous?" Je pensais me faire griller mais au dernier moment je lui dit: "Ben je vais chercher mes pizzas dans ma voiture! Ah et au fait le maguedo, c'est par là!" (c'est à dire pas du tout dans la direction de ma voiture)
Une fois rentré, je me dis qu'il serait quand même bon d'informer Police secours de mon histoire. J'ai donc eu le privilège de composer le 17 sur mon téléphone (!) et explique à un représentant de la loi ce qu'il vient de m'arriver. Il me dit alors que justement, on leur a signalé une fugue de l'hôpital psychiatrique que le jeune m'avait justement cité. En revanche il ne répondait pas au même prénom que celui qu'il m'avait donné. Mais bon vu qu'il ne se souvenait même pas de son nom de famille, j'ai cru bon de dire au policier que je l'avais laissé près du Maguedo et qu'il serait bon qu'ils aillent y faire un tour.
Y'a vraiment qu'à moi que ça arrive ce genre de choses. Je n'ai pas eu de suite à cette affaire. Mais si la police ne m'a pas rappelé, j'imagine que c'est parce que ça s'est bien terminé.
Depuis un mois, je suis absolument fan du chanteur Mika! Son album est vraiment génial; surtout sa chanson "Grace Kelly". J'aimerais tellement aller le voir en concert à Paris le 4 avril mais c'est (déjà) complet! C'est pas juste! Alors que j'avais adopté son album avant même qu'il soit sorti, que je me suis empressé d'acheter à sa sortie début Février, et que j'ai pas été aussi rapide pour ne pas réserver deux places pour le seul concert annoncé. Parfois, je me déteste.
Bon et puis J-1 avant que je parte en vacances pendant une semaine en Guadeloupe!!!!! J'ai hâte, et en même temps j'ai si peur de l'avion durant 8 heures!
Allez j'arrête là parce que je serais prêt à toujours continuer tel que je suis parti. Merci d'avoir tout lu et comme avant et Skyblogment parlant:
Lââââââché vos coooooom! lol
